Si seulement ils avaient écouté entre autres André Trouche qui était sourcier tout comme son petit fils Pierre, qui est élu à la commission de l’eau, mais que personne ne veut écouter sur ce sujet.
Sacré chemin pluvial des Piochs, il suffirait de le remettre en fonction
Albert Einsteindisait : « Ils ne faut pas compter sur ceux qui ont créé les problèmes pour les résoudre »
à suivre alors … sauf que là … ça commence à se voir, même l’agglopole le dit et le dessine ! … mais il y a bien plus parlant encore … ça fuite de toutes parts !
Source : www.montbazin-autrement.com
Mêmes causes, mêmes conséquences à venir sur l’avenue de Villeveyrac à Montbazin qu’à Poussan ?
Dit autrement, THE même Problème ?
Mais trop tard !
ALLO L’AGGLO … avant que l’on fasse GLOUGLOU à Montbazin, le collecteur des eaux pluviales depuis la nuit des temps, a un nom, c’est le Chemin des Piochs ! Vous le savez, vous l’avez écrit.
Avant la pelle, prenons les Piochs ?
Voici votre appel public à la concurrence de Sète Agglopole, s’agissant de la rue des Horts à Poussan ! …
« Objet : Création d’un collecteur des eaux pluviales – Rue des Horts – Commune de Poussan »
Que dire ??!!! … aucune victime OUF OUF OUF ! …Mais comment cela a-t-il bien pu arriver ? Quels en sont les mécanismes, les raisons ?Quid des élucubrations sophistiquées qui peuvent en découler ?
Prions tous en coeur à chaque orage Montbazinois, espérons que l’énorme bassin versant et surtout les nappes souteraines ne soient pas cruelles pour le village de Montbazin (elles sont énormes ! même à Sète ils le savent).
On ne commande à la nature qu’en obéissant à ses loisuniverselles.
Précisons que la configuration Montbazinoise est bien plus préoccupante qu’à Poussan, dixit des ingénieurs éthiques, Montbazin est un point noir connu … suivre le lien ci-dessous pour mieux en appréhender les dangers.
Ils auront préféré assigner Pierre … lui qui a cassé en 2015 le mur qui obstruait l’écoulement naturel des eaux pluviales et l’accès à des terres agricoles.
N’avait-il pas un intérêt majeur à agir, pouvait-il accepter la destruction de sa maison par le détournement illégal des eaux pluviales du chemin des Piochs ?